UQAM

Suivre les négociations dans les Amériques, étudier les formes nouvelles que prend
l’intégration, servir de carrefour de recherche et participer au débat public.

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Pierre-Paul St-Onge

L’organisation de la mission

14 janvier 2009

L’organisation d’une mission d’observation se prépare plusieurs mois à l’avance. La coordonnatrice du projet d’observation au Salvador, Judith Chafoya, y travaille depuis plus d’un an. L’équipe au complet s’est réunie pour la première fois à l’automne 2008. Nous avons assistée à une formation d’une demie journée donnée par le Directeur générale des élections du Québec et une autre formation introductive socio-historique du El Salvador. Il y a eu plusieurs réunions qui ont porté également sur le financement de l’activité. Cette mission d’observation n’est pas sous l’égide de l’ONU. Ce sont plutôt des citoyennes et des citoyens du Québec qui se sont rassemblés pour soutenir une démocratie qui n’a pas encore 20 ans.

Cette mission comprend deux volets. Tout d’abord, en janvier les citoyens éliront leurs représentants aux élections municipales et les députés de l’Assemblée législative. C’est à ce volet que je participe. Notre groupe est composée de cinq personnes : un vancouvérois, deux résidents de Gatineau et deux montréalais soit la coordonnatrice et moi-même. À notre hôtel il y a aussi un groupe d’américaines. Nous savons aussi qu’il y a des gens de Kingston et des personnes provenant d’ailleurs au Canada. Ensuite, en mars, se tiendra l’élection présidentielle. C’est à ce moment où il y aura le plus grand nombre d’observateurs.

2002, 10 ans après les accords de paix

www.alterinfos.org/spip.php ?article1347

  • Formation de l'équipe au DGEQ