« La reprise des discussions entre l’Iran et le Groupe des 5+1 ne change en rien une tendance de fond. Téhéran maîtrisera plus tôt que tard la technologie nucléaire. Les effets déstabilisateurs d’une telle perspective ne sont pas inévitables. Ils mettent cependant en évidence l’enjeu majeur des négociations qui vont avoir lieu. Il s’agit pour les États-Unis et leurs alliés de s’assurer que l’Iran, doté d’une capacité nucléaire critique, devienne un acteur international responsable, à l’instar du Japon. L’échec serait que Téhéran suive la voie de Pyongyang, celle de l’isolement et de l’affrontement sporadique ». Pour lire la suite, téléchargez le PDF. Julien Tourreille est candidat au doctorat en science politique à l’UQAM et chercheur à l’Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand.
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